Archives de l’étiquette : Paris
2021 : l’année Goldorak
Nous recevons aujourd’hui la visite du fan N°1 de Goldorak en Belgique (c’est moi qui le dis) qui a eu la gentillesse de partager sa passion avec nous à l’occasion de l’exposition consacrée au robot géant à Paris.
L’exposition James Bond 007 : 50 ans de style Bond
Je clôture (pour le moment) le dossier Bond avec ma visite de l’expo itinérante qui était de passage à Paris en 2016. Après avoir fait littéralement le tour du monde depuis 2012 (Londres, Madrid, Moscou, Dubaï, Melbourne, Toronto, Mexico City, etc.), la magnifique expo prenait ses quartiers à la Grande Halle de La Villette.
Roger Moore tire sa révérence
Suivez ce parachute ! James Bond (Roger Moore) Un dernier tour de piste pour le Bond de Roger Moore. L’aventure démarre en Sibérie, continue à Paris et à Chantilly pour se terminer à San Francisco. Jamais fatigué, ce Bond ! Dangereusement Vôtre (A View to a Kill – 1985) Réalisé par John Glen sur unLire la suite « Roger Moore tire sa révérence »
Bond en Île-de-France… et dans l’espace
Moonraker (1979) Réalisé par Lewis Gilbert – également réalisateur du chapitre précédent L’Espion qui m’aimait et de On ne Vit que Deux Fois de l’ère Sean Connery – scénario vaguement adapté du roman éponyme de Ian Fleming. Musique de John Barry, chanson interprétée par Shirley Bassey. La plus folle des aventures de Bond, le filmLire la suite « Bond en Île-de-France… et dans l’espace »
Homme volant aperçu à la Tour Eiffel
Agenouille-toi devant Zod ! Général Zod (Terence Stamp) Superman, je suis tombée dedans quand j’étais petite, comme on dit. Je me devais donc de couvrir au moins une des adaptations du plus grand de tous les héros !
Une si jolie frimousse
Histoires de crocs, de Dracula à Buffy
Écoutez-les donc. Ils sont les enfants de la nuit. Quelle douce musique, n’est-ce pas ? Comte Dracula (Gary Oldman)
Poupées de cire du Grévin
Attraction touristique parisienne qu’il faut avoir vu au moins une fois, le Musée Grévin est aussi fascinant à visiter pour ses statues de cire que pour son cadre sorti tout droit de la période faste de la Belle Epoque.
La cinéphile en voyage 